Ce texte est un des rares qui est survécu le reste ayant été détruit je vais le continuer au fur et à mesure du temps qui passe.

Les pavés défoncés rue des Arquebusiers renvoient l'écho du fiacre aux larges roues et d'une caisse noire laquée d'un sombre aussi profond que ses grands yeux ouverts sur l'histoire en devenir.

Affublé d'une simple robe de toile rêche et de sabot en buis son esprit court plus vite que la marée inondant son s a n g . Elle se fige regard absente d'une existence vide de sens bientôt elle ne sera plus que chaire et s a n g , plus que larmes teintés de différences cruelles et assassines.

Le tombeau crisse, les deux chevaux, œillères noires portant haut le cimier blanc et sur leur croupe le damier brossé emblème de la maison Chartre de Turède d'Estrou, s'engagent rue du borgne prémisses de ses vices inavoués dont elle tremble depuis si longtemps. Qui ? Comment ? Combien de temps, une heure, une éternité ? Saura-t-elle soutenir son regard ? Le courage lui fera-t-il défaut au moment des tourments, à l'instant de baisser les yeux sera-t-elle à nouveau abandonnée...

Le pierre tombale dans la rue sombre s'immobilise. Une double porte en bois massif aussi noire que la peinture du fiacre reste muette.

-Descendez ne vous faites pas attendre !

Armelle extirpée de sa mélancolie s'exécuta tel un automate précieux. Le Cocher d'un bond se retrouva derrière elle. Elle sentait son souffle court sa respiration saccadée lui témoigner sa compassion mélangée d'une folle envie sodomite de lui tomber pucelage la contre le chêne. Les mains du rustre au bas de la robe en toile soulevèrent délicatement le bout et se placèrent contre sa peau. La peur l envahie...

Elle contracta ses sphincters en un réflexe irraisonné. Sera-t-elle souillée bien avant l'heure, bien avant de prononcer ses vœux ? Bien avant "son" Marquis. La chaleur des mains du manant la fit sortir de sa torpeur ses hanches lèchent la toile qui remonte, son ventre grogna tel l'affamé qui n'a jamais connu l'ivresse du pain et des viandes en sauces, ses flancs brûlent au contact de dextre et sinistra un trait faible s'échappa de ses lèvres n'ayant connu que ses jumelles inexpérimentés. Pour confidentes en nuitées. La toile sur ses épaules passa...puis ses bras qui flottaient dans les air sans qu'elle l eu commandé !?!

-reste la et attend ! Tu... tu...

Dans un étrange s a n g lot appuyé contre elle de tout son poids

• Tudieu ! j'ai l'entre jambe en feu et te v i o l erais bien virginale maquerelle !! Mais n'en ferait rien Le Maître me tuerai...

Je l'en sais capable !! Je l’en sais coupable...

Reprenant leurs esprits elle nue transie d'effroi lui brûlant non consumé de ne s'être soulagé, ils se laissèrent le temps de respirer. Cocher remonta sur son siège enfonçant la tête dans les épaules se saisissant de son fouet qu'il fit claquer près d'Armelle; il éclata de rire tandis qu'elle en silence pleurait, livré aux portes de l'Enfer. La nuit arrivait à son terme le jour allait poindre, les rues alentours s'animaient les errants de la vie passaient à cotés d'elle. Terrifiée jusqu'à l'effroyable pensé

Et si.,... Et si il venait à passer un proche un familier que dira-t-il de la voir si loin de chez elle portant pour seul habit sa toison noire et fournis qui la vêtit jusqu'au nombril. La double porte reste impénétrable. Un détail... Celle-ci est cloutée de clous à tête d'aigle en bronze doré. Un chuintement qui se fit plainte déchirante comme se plain le cuir déchiré d'une âme mis aux supplices . Une lanterne lui fit face, s'approcha d'elle lentement, puis du visage aux pieds on eu dit qu'elle la scrutait... Et si... Si seulement c'était...

• Qui êtes vous !
• Armelle l'on m’a demandé de Une gifle monumentale la fit taire. Cinglé la respiration coupée les larmes jaillirent incontrôlées.
• QUI ETES VOUS !!!!
• AR ARmelle... De Sudelle d'Alpre.. La lanterne vint devant sa joue cuisante, et sur la lanterne de lire :

SOUVIENS TOI ! TU ES CE QUE NOUS FÛMES ET RESTERA CE QUE NOUS SOMMES !

La lanterne se fit silence reculant sous la voûte cochère. La joue meurtrie les sabot bruyant de son pas le cœur brisé en cours de soin et d'éducation, Armelle fit suite à la chandelle. Plus jamais sa famille ses proches ne la revirent.... A 35 ans vierge et célibataire on l' a cru perdue six pieds sous terre.

Elle arrive dans une cour intérieure aux murs en pierre de tailles, Lanterne lui intima l'ordre de quitter ses sabots et de lui tendre. La lumière disparue au détour d'un escalier dérobé le silence se fit, plus aucuns bruits pas même ceux de la rue, plus rien pas plus de roues sur les pavés que de s'entendre respirer.

Le jour va se lever et pourtant seule une faible source lumineuse naturels tombe d'un toit haut perché, ce raie de lumière concentre les myriades de poussières dansantes folles entremêlés de fétu de paille et de diverses choses qu elle ne peut identifié. La voilà dans l'antre des enfer ou du paradis étrangement le calme se fit en elle et aventureuse elle se mit à scruter les alentours.

Dans la pénombre elle aperçu le Rez de chaussée ou de nombreuses portes de bois petites et étroites se succédaient les unes aux autres. La cour rectangulaire était bordée de quatre bâtiments d'une trentaine de mètre chacun, le toit totalement fermé devait être lui aussi en pierre quoi qu'il lui était difficile de le voir. Un étage se tenait environ à 2 mètres du sol ce qui était très curieux pour des bâtisses de la haute bourgeoisie de cette époque. Des fenêtres couraient sur tout le pourtour de la cour elles étaient placés au-dessus des petites portes, elles étaient très hautes le double de la hauteur que celles des dites portes.

Les vitres sont à nues mais les pièces y afférentes sont plongées dans le noir total Armelle frissonnant, un courant d'air venu d'on ne sait ou ses petits seins se firent rappeler à leur bon souvenir le froid monta lentement de la voûte plantaire de ses pieds sur la pierre gelée a vous fendre l'âme., la douleur digne d'une période glaciaire courait dans ses jambes dans ses artères, ses veines sa chaire, elle explosa au contact de la chaleur de son ventre, celui ci gémit une peur panique se fit sourde... Elle n'allait pas se faire dessus...

Des aboiements se firent brisants le silence Armelle frissonna ces bruits d'animaux enragés se rapprochaient la pénitente nue senti sa salive lui échapper, sa bouche ne pu contenir sa bave qui ruissela sur son menton, son buste, elle se figea de peur quand l'une des portes du rez de chaussée s'ouvrit avec fracas sur le silence quand émergèrent dans le noir de cette cour deux formes e n f a n t ées des enfers, les deux bêtes à quatre pattes grognaient

Armelle senti sa peau lui brûler de son entre jambes jusqu'aux oreilles puis le s a n g  de son corps s'évapora tout comme la moindre envie de fuir lui cloua les pieds sur les dalles gelées de la cour. les bêtes approchent... grognant de plus en plus fort, elle distingua les formes... deux loups aux mâchoires puissantes ?!?

Les deux monstres issus des enfers passèrent sous le raie de lumière. Armelle n'en cru pas ses yeux... un homme... une femme... n'ayant plus rien d'humain, plus rien qui ne soit acceptable mentalement pour ce siècle des lumières. Deux chiens mâle et femelle, il ne s'agissait plus que cela ! La femelle s'arrêta devant Armelle en geignant tête baissée le mâle quand lui tournait sur place l'écume aux babines.

• Oh ! mon Dieu s'écria Armelle dans un cri d'effroi
• Oh ! mon Dieu ! que vous est il arrivé ?!?

Le mâle et la femelle avaient tout deux les oreilles taillés en pointes tout comme le sont les chiens de meute d'équipage de chasse à cour, les deux choses n'avaient plus de mandibules inférieur s remplacées par du fer de mêmes formes, plus de dents dans la cavité buccale mais des crocs en fer forgé, blaisant les joues d'où coulaient du s a n g  frais sur des traces séchées. les deux molosses choses étranges semblaient correctement nourris, sur leur flancs étaient apposées deux marques rouges de style gothique un M et un S majuscule, tout deux en lieux et place du coup arboraient une plaque métallique les ceinturant d'où Armelle pu lire < Igor > pour l'un et < Ouarda > pour l'autre.

Des colliers une lourde barre descendait le long de leur dos leur interdisant tout mouvements de dos rond finissant entre leur fesses par une forme arrondi. La femelle a les seins traversés de part et d'autre d'un crochet terminé par un anneau de bronze déformant chaque seins du fait de leur poids.

Le male toujours grognant et s'agitant fit un bon et voulu couvrir la femelle quand un coup de feu éclata... Le silence...la peur...la folie s'empara d'Armelle son esprit vacilla le molosse le corps s'affaissa mollement, glissant de la croupe de la chienne et tomba la tète et la mâchoire lourdement au sol, son poitrail... son poitrail était parsemé d'éclats de verre, de tessons de bouteilles, son pénis sectionné en deux gisait mollement entre les jambes du chien et dans un dernier râle la vie l'abandonna.

• À TA PLACE OUARDA ! résonna sur les murs et le sol de la cour.

La chienne en un spasme leva la jambe gauche et l'étira vers l'arrière tandis que son bras et sa main droite se levèrent en position d'arrêt. Armelle fut bouleversé de voir combien cette chienne était bien dressée, sa vulve se fit brûlure comme jamais dans sa vie en un éclaire qui lui éventra l'âme. Ses jambes trembles de désirs de fureur de vivre masochiste

Armelle se pissa dessus un jet dru ininterrompu giclant à terre inondant l'intérieur de ses cuisses ruisselant jusque sur ses pieds la réchauffant au passage, puis le froid à nouveau la peur repris sa place sur son derme. La chienne vint s'asseoir face à Armelle la truffe déformée par deux esses plantés dans chacune des narines et tirées vers l'arrière par une cordelette faisant le tour de son crâne. Elle se mit à laper l'urine fraîche d'Armelle, la langue intacte et agile s'insinua entre les orteils de la pénitente remontant sur le pied puis la jambe, la truffe froide et humide s'immisça jusqu'au con, les lapements se firent fou désordonnés, inquisiteurs du con qui porta vite les traces de morsures des crocs. Armelle défailli et pissa à nouveau incontrôlable dans la gueule de la chienne béate des plaisirs olfactifs et gustatifs de cette douche dorée, Armelle n'est plus las...elle vit enfin et attend celui qui deviendra son Maitre, son prélat de l'enfer !